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Interview : Découvrez la face cachée des détectives privés


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Des milliers de personnes ont recours chaque année à des détectives privés.

Nous sommes partis à la rencontre de l’un d’entre eux.





Calista : Comment devient-on détective privé ?


Personnellement, j’ai suivi une licence en droit spécialisé “agent de recherches privées (détective privé)” à l’université de Nîmes.



Calista : Quels sont vos outils de travail ?


J’utilise bien évidemment un appareil photo pour avoir des preuves, ainsi qu'une paire de lunettes caméscopes espions, un stylo caméra espion, une paire de lunettes de vue caméra espion, un appareil qui détecte les caméras espions et enfin un dictaphone.
Mais mes meilleurs outils sont mes yeux pour constater des faits.

Calista : Quelle a été votre mission la plus risquée ?


Récemment, j’ai fait face à un vol d’entreprise.
Quand je suis arrivé sur place les hommes remplissaient un camion avec des packs de vin, je ne pouvais pas avoir une bonne preuve de là où je me trouvais mais mon client a insisté pour que je me procure une photo, j’ai donc dû me faire voir pour avoir un bon angle, j’ai eu le temps de retourner jusqu’à ma voiture mais un homme s’est jeté sur celle-ci. Heureusement, ils étaient à pied et moi en voiture donc je n’ai pas eu plus de problème.

Calista : Quelle a été votre meilleure mission ?


Il y a une mission que j’ai particulièrement aimée et qui m’a ému. C’est quand j’ai retrouvé le père de mon client, ça m'a fait plaisir de les voir heureux et d’avoir pu les aider dans leur retrouvailles.

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